Séries TV – Le Top 10 de l’année 2018

L’avis d’Alounet, le Sérievore

Dans quelques jours nous quitterons 2018 pour 2019, et cette année encore, le sérievore que je suis s’est régalé des nouveautés, ou bien encore des nouvelles saisons de mes séries favorites. Voici donc un petit top 10 (très personnel) basé sur les séries que l’on a pu voir sur notre écran cette année.

Soyez prudent, les lignes qui suivent contiennent quand même pas mal de spoils !

10 – Once Upon a Time – Saison 7

Cette année, nous faisions nos adieux à une série que j’ai suivi dès son premier épisode, Once Upon a Time. Pour cette dernière saison (inespérée pour la production), pas mal de figures emblématiques quittent le show et laissent place à une nouvelle génération et – encore – une nouvelle malédiction. Ainsi c’est un Henry adulte que l’on retrouve maudit, en plein quartier de Seattle. Exit donc Storybrooke, les Charming et Emma. Cette saison se permettra de revisiter – d’une toute autre manière qu’auparavant – les histoires de Cendrillon, Raiponce, Alice au pays des merveilles ou même la Princesse et la Grenouille.

On notera la présence à nouveau des anciens personnages principaux tels que Regina, Rumplstinskin et Crochet dans de nouvelles versions, des retours d’ancien personnages, tel que Zelena ou encore un adieu très émouvant pour le personnage de Belle dans l’épisode 4 de la saison.

Parmi les nouveaux personnages, c’est Drizella, la demi-sœur de Cendrillon qui sort son épingle du jeu, ainsi que le second couple LGBT de la série : Alice (du pays des merveilles) et Robin (la fille de Zelena et Robin des Bois).

Le final permettant à pas mal d’anciens personnages de revenir se voit obtenir une conclusion – à nouveau – satisfaisante notamment pour Régina, qui aura vraiment était le fil rouge de ses sept années, en passant de grande méchante à grande héroïne. Mais il ne faut pas se mentir, il était temps que le livre des contes de fée se referme et voit apparaître le mot « FIN ».

09 – Insatiable – Saison 1

Insatiable, c’est une découverte réalisée il y a quelques semaines. Une collègue a commencé à regarder, m’a dit de fuir au plus vite. Ma sœur s’y est mise aussi, je l’ai suivi… Si au début, je ne savais pas trop ce que j’allais regarder, fort est-il de reconnaître que je me suis avalé la première saison aussi vite que Patty peut avaler son gâteau d’anniversaire entier à elle seule.

Tout au long de la série, on se rend compte que la série va plus loin que le postulat de départ. Je pensais réellement suivre les coulisses des concours de beauté dans chaque épisode, mais la série ne parle pas que de ça. La série c’est avant tout deux personnalités qui vont se rencontrer à un moment donné de leur vie où ils en ont le plus besoin. D’ailleurs, c’est leurs voix-off à l’un et l’autre qui vont rythmer la série.

Tout d’abord Patty Bladen, l’héroïne, grosse qui – suite à une mésaventure avec un clochard – va perdre beaucoup de poids en quelques mois. Métamorphosée, elle va faire la rencontre de Bob Armstrong, un avocat qui – durant son temps libre – est aussi coach pour des reines de beauté.

Coup de foudre entre les deux. Lui a besoin d’une nouvelle miss, elle a besoin d’un père de substitution (dont elle s’amourachera le temps des premiers épisodes), et c’est ainsi qu’ils vont collaborer ensemble (au grand dam de la plupart de leur entourage) et se sauver mutuellement la vie à un moment donné où l’un et l’autre auraient pu en finir avec leurs vies.

Bob est en effet marié à Coralee (sublime Alyssa Milano dans un rôle de femme au foyer huppée qui lui va à merveille) et a pour rival un autre Bob, son ami d’enfance devenu magistrat. L’histoire des deux Bob est sans doute ce qui m’a apporté le plus de fou rire, jusqu’à la grande révélation (attention SPOILERS), ces deux hommes mariés sont en réalité… fous l’un de l’autre depuis l’adolescence et ont caché leurs homosexualités respectives derrière une rivalité et une haine durant toutes ces années.

Mais ce n’est pas la ou la série se montre la plus dingue, ni même lorsqu’elle développe un plan à trois avec Alyssa Milano. Non, la série vire tout du long dans une sorte de comédie – tragique – dramatique jusqu’à se conclure par un double meurtre à la fin de la série… Oui, en commençant le premier épisode je ne m’attendais pas à tout ce retournement de situation.

Les autres personnages du show ont tous un côté comique, attachant, drôle ou émouvant (je pense à Nonnie, la meilleure amie de Patty qui réalise après tout le monde qu’elle est lesbienne et amoureuse de Patty).

C’est une série qui se regarde comme un plaisir coupable. Pas toujours très réaliste, parfois complètement incongrue ou folle, mais elle a su me séduire et je ne pensais pas que j’attendrais la seconde saison à ce point.

08 – Riverdale – Saison 2

Après la première saison du show, centrée sur le meurtre de Jason Blossom dans la petite ville de Riverdale, que pouvez nous raconter la série ? Une histoire de tueur en série – la cagoule noire – qui sévit dans les rues de Riverdale ! On ajoute à cela une histoire de gang (les Goonies contre les Serpents), des adolescents qui se prennent pour une milice, un mafieux véreux de retour en ville, une comédie musicale centrée sur Carrie et tout un tas d’histoires et intrigues amoureuses adolescentes.

Riverdale, c’est un peu une série pleine de grand n’importe quoi, mais a laquelle on s’attache et dont on regarde les épisodes les uns après les autres sans pouvoir réellement s’arrêter. La deuxième saison – plus longue que la première – est en dessous de celle que l’on a découvert. Cependant, les personnages – bien que peu réalistes – ont su nous attacher.
Riverdale c’est aussi une série qui parvient à mélanger un tas de genre. On suit tantôt le Scooby-Gang mener l’enquête à la place des adultes, parfois des histoires amoureuses ou de tueurs en série. C’est une grande fourre tout ou tout est permis. Même faire de Cherryl Blosson un personnage lesbien (et la voir roucouler avec une Serpent du nom de Toni).

La saison 3 ayant démarré également en septembre suit le cap : un jeu de rôle style Donjons et Dragons menace toute la ville lorsque l’on y joue. On se rend compte que les parents des héros sont tous liés à l’histoire dans un épisode à la Breakfast Club et l’on a même le droit à des références à Prison Break lorsque l’un des personnages termine en prison.

L’une de mes amies me dit souvent que la série est pathétique mais qu’elle ne peut pas s’empêcher de la regarder. Je n’irais pas jusqu’à ce point-là, mais c’est quand même une série pleine de défauts (cachés derrière les personnages tous aussi beaux les uns que les autres et semblant sortir d’un épisode de Gossip Girl) que l’on n’arrive pas à lâcher.

07 – Atypical – Saison 2

La première saison m’avait beaucoup touché. La saison 2 renouvelle l’exercice. Le personnage de Sam Gardner, autiste, est incroyablement bien interprété par Keir Gilchrist. Cette saison, il essaye de gagner en maturité et en autonomie. En essayant de couper le cordon avec sa famille, en apprenant à vivre au lycée sans sa sœur (Casey étant transférée dans une école privée), en étant dans une relation libre avec son ex petite amie (toujours aussi adorablement folle, à savoir Paige), et en devant apprendre à vivre sans sa psychologue qu’il n’a plus le droit de voir.

De plus, il va décider de s’inscrire à l’université, décision ô combien difficile pour le personnage mais qui est synonyme de toute l’évolution qui l’entoure durant cette saison.

Les autres personnages du show ne sont pas en reste. Casey coule un amour plutôt sympathique avec Evan, mais c’est sans compter sur sa nouvelle meilleure amie. En effet, elle rencontre Izzie. D’abord ennemies, puis très bonnes amies, elles finissent par se rendre compte qu’elles sont attirées l’une par l’autre…

Du côté des parents, c’est la séparation. J’avoue qu’il s’agit sans doute des deux personnages que j’aime le moins suivre (je suis toujours irrité par Elsa, sans savoir si c’est le personnage ou si c’est l’actrice qui m’énerve).

Julia est reléguée au second plan. Elle est enceinte, et célibataire, et n’est donc plus la psychologue de Sam (même si l’on sent qu’elle reste très attachée à son ancien protégé).

La saison est donc dans la même veine que la première et s’installe tout doucement dans notre quotidien.

06 – Champions – Saison 1

Vince, un ancien sportif, et son frère Matthew vivent ensemble et dirigent une salle de sport du nom de Champions. Un jour, l’ex petite amie de Vince débarque en ville et lui présente leur fils : Michael. Ce jeune adolescent est un jeune artiste en herbe qui va intégrer une grande école artistique pour être une star de la comédie musicale.

Quand j’ai découvert cette série sur Netflix, j’ai voulu regarder car je connaissais le jeune J.J. Totah qui joue le rôle principal. Je le connaissais de Glee, ou il jouait Mason dans la sixième saison de la série. Il dispose ici d’un personnage plus ou moins similaire à celui qu’il incarnait dans la série musicale. Un jeune adolescent, gay assumé, qui aime Broadway, les potins, tout ce qui s’apporte aux vêtements et… oui, il est une carricature à lui seul de tous les clichés gays.

Il débarque ainsi dans la vie de son père biologique et de son oncle, deux hommes plutôt beaufs et sportifs. De là, le postulat de départ est clair, nous serons dans une comédie aux airs de sitcoms affublée bien évidemment d’un message de tolérance.

Il n’y aura pas de seconde saison, mais toujours est-il que cette première saison était une belle découverte. Les personnages de Michael, Vince et Matthew sont drôles et attachants. Cette famille nouvellement formée apprend à se connaître et s’attacher. Coup de cœur pour le grand idiot qu’est l’oncle Matthew, mais aussi pour Dana, la comptable de la salle qui malgré ses tocs se montre très attachante.

05 – 13 Reasons Why – Saison 2

Il était difficile de passer à côté du succès de la première saison (que l’on ait regardé ou non), et la seconde saison était très attendue. Evidemment, j’avais hâte de découvrir la suite et retrouver les personnages ayant gravité autour d’Hannah Baker.

Cette fois ci, plus de cassettes, mais des photos, un jugement au tribunal, de nouvelles révélations et d’autres versions de l’histoire d’Hannah Baker… En effet, durant chaque épisode, l’un des personnages clefs de la première saison sera amené à témoigner et donner sa vérité. Chocs et rebondissements quand l’on découvre qu’Hannah n’avait pas forcément tout dit

D’ailleurs le personnage ne disparaît toujours pas. Encore présente lors des flashbacks, mais aussi comme « fantôme » apparaissant à Clay. C’est sans doute la chose que j’ai le plus détesté dans cette saison. Vouloir garder l’actrice à tout prix le plus possible malgré la conclusion de son histoire et de son récit.

On notera un dernier épisode avec une scène hautement douloureuse pour le personnage de Tyler qui amènera la série sur un cliffangher propre à l’Amérique (fusillade lors d’un bal de promo), mais surtout le personnage de Jessica qui brille et devient vraiment l’une des stars du show. De même que Justin, complètement détruit mais ô combien attachant (l’amitié fraternelle avec Clay est l’une des plus belles relations de la série). Au contraire, la disparition progressive (et inexpliquée) de personnages comme celui de Sheri me dérange.

Enfin l’intrigue autour du personnage de Tony (l’un des personnages ouvertement gays d’ailleurs), m’a légèrement déçu. J’en attendais sans doute un peu plus alors même que j’avais adoré son personnage de confident dans la première saison.

04 – The Haunting of Hill House – Saison 1

Je ne vais pas revenir très longuement sur cette série, ma critique étant déjà à découvrir sur le blog ici. Rien de surprenant à ce que je place donc la famille Crain aussi haut dans ce classement.

Pour rappel, l’histoire est la suivante. À l’été 1992, Hugh et Olivia Crain s’installent temporairement dans un ancien manoir, Hill House, avec leurs cinq enfants : Steven, Shirley, Theodora, Luke et Nell. Ils subissent des événements paranormaux et des pertes tragiques, les forçant à quitter la maison. En octobre 2018, 26 ans après les hantises, les frères et sœurs Crain et leur père, Hugh, se retrouvent réunis après une nouvelle tragédie, les forçant à affronter les démons intérieurs de leur enfance partagée et leurs pertes.

Après avoir convaincu collègues, amis, famille, c’est maintenant vous lecteurs que je parviens à initier à cette série, et j’en suis ravi !

03 – Elite – Saison 1

Après le succès de la Casa de Papel (série espagnole que je n’ai personnellement pas vu), Netflix compte à nouveau sur ce pays Européen avec ELITE, mélange de Gossip Girl et How To Get Away With Murder. Je m’explique.

La jeunesse dorée espagnole, l’élite, est mise à l’honneur tel que pouvaient l’être les adolescents de l’Upper East Side dans Gossip Girl. A cela vous ajoutait un meurtre que l’on découvre via des Flash-Forwards (un peu comme la série judiciaire connue en France sous le nom de Murder), et vous avait une série adolescente à suspens dans laquelle vous plongeait directement.

La seule série espagnole que je connaissais jusqu’alors c’était Physique ou Chimie (diffusée il y a quelques années chez nous sur NRJ12), et j’ai ressenti beaucoup de similitudes entre les deux (dans les thématiques abordées telles que la proximité prof / élèves, le plan à trois, le traitement de l’homosexualité ou de la religion musulmane).

Ici, trois lycéens issus de la classe moyenne attérit dans le lycée privée après la destruction de leur propre lycée. Choc des cultures, chacun des trois personnages va devoir s’intégrer et se mélanger aux autres. Pas facile face à des personnalités comme Lou (sorte de Blair Waldorf espagnole, un brun garce et manipulatrice) ou bien encore Guzman (un beau gosse, fils de riche, qui se positionne un peu comme le leader de la bande). En face, nous avons des personnages comme Samuel (timide, un peu nerd, qui va évidemment tomber sous le charme de Marina, la sœur de Guzman), mais aussi Christian (le bout en train qui sera lui cantonné au triangle amoureux avec Carla et Polo) et enfin Nadia (mon coup de cœur), musulmane, brillante, première de classe qui doit accepter les règles de ce nouveau monde.

Dans cette série, si la palme du personnage que je déteste le plus vient à Marina, deux couples sortent leurs épingles du jeu : Nadia et Guzman, dont l’alchimie est indéniable et ou la nature de leur relation – improbable – prend réellement le temps de s’installer. Mais aussi Omar (le frère de Nadia) et Ander, premier couple gay de la série qui sait se montrer touchant malgré les obstacles liés à leurs familles (du moins, surtout celle d’Omar).

La série est évidemment renouvelée pour une seconde saison (qui nous permettra – maintenant que l’on connait l’identité du meurtrier – de suivre comment ces révélations vont pouvoir se goupiller dans ce petit monde de riche). Et autant vous dire, que j’ai hâte !

02 – Dynasty – Saison 1

Fan des soap-opéras de la première heure tel que Dallas ou Dynasty, première version, ce remake de la série culte des années 80 est réellement la digne héritière du genre. C’est simple, j’attends chaque semaine après ma dose, mon épisode, sachant pertinemment que je vais dévorer ces 40 minutes avec beaucoup de plaisir.

Drôle, impertinente, folle, cette série est un délice, un plaisir coupable. La famille Carrington – nouvelle version – nous emmène chaque semaine dans des drames de riches. Lutte pour le pouvoir, famille recomposée, on découvre dans un épisode qu’un personnage n’est pas réellement mort, qu’un tel n’est en réalité pas le fils de son père, mais celui du majordome, que la nouvelle épouse dispose d’une fausse identité ou l’on assiste à un kidnapping ou faire une frange à la dite kidnappée est le pire crime que l’on puisse imaginer.

Que dire des crépages de chigon entre mère et fille dans la piscine ou les extensions sont arrachées aussi vite que des poils lors d’une épilation. Bref, difficile de résumer pleinement le bijou qu’est Dynasty.

Si vous recherchez à vos évader, c’est la série qu’il vous faut. Fallon, icône du genre, est ici une redoutable femme d’affaires à la langue acérée et qui assume pleinement son égoïsme et son égocentrisme. A côté d’elle, son grand frère, plus altruiste et plus posé, Steven. Autour d’eux, une famille compliquée.

Parmi les gros coups de cœur de la série, difficile de passer à côté de Sammy Jo. Dans cette nouvelle version, il s’agit ici du neveu de Crystal (la nouvelle épouse du père de famille, Blake), un jeune homosexuel latino touchant et drôle au possible. Evidemment, son histoire avec Steven fera battre nos petits cœurs de midinettes.

A côté, si la rivalité Crystal / Fallon prend le pas une grande partie de la série, ce n’est rien comparé à l’arrivée d’Alexis, la mère (jouée ici par une Nicolette Sheridan proche de ses rôles iconiques dans Côte Ouest et Desperate Housewives). Reine des garces, ses conflits avec sa fille ou la nouvelle épouse de son ex sont jouissifs.

Evidemment, soap opéra oblige, chaque épisode se termine avec un cliffanger nous obligeant presque à revenir en courant pour l’épisode suivant.

Dynasty prouve sans relâche qu’elle est bel et bien la digne héritière d’un mouvement qui eut son paroxysme dans les années 80 et que non, les soaps opéras ne sont pas morts.

01 – The 100 – Saison 5

Actuellement, The 100 est certainement l’une de mes séries préférées à l’antenne. J’ai converti tout le monde : mon mec, mon meilleur pote, ma sœur et mon beau-frère. D’année en année, la série progresse, devient plus adulte et enrichit son univers. La saison 5 ne démord pas à la règle.

Six ans après la fin de la quatrième saison et le Praimfaya qui s’abattait sur Terre, cette saison redistribue les cartes et place nos principaux héros dans trois groupes différents. Ainsi, si Clarke a pu survivre grâce au Night Blood sur Terre, elle n’était pas si seule que ça. Elle a rencontré Maddie, une autre sang d’ébène qu’elle va adopter et considérer comme sa fille.

De là, le personnage de Clarke est changé. Elle ne dirige plus pour une race, non, mais elle raisonne en tant que mère (comme Abby a pu le faire avant elle), et cela va l’opposer plus d’une fois à ses anciens amis lorsque tout le monde sera réuni.

En commençant par Bellamy. Son meilleur ami lui, a survécu dans l’espace, sur l’Arc, en compagnie de Raven, Monty, Harper, Murphy, Echo et Emori. Et c’est pour ces deux dernières, anciennement Grounders, que l’évolution est la plus drastique. Six ans dans l’espace auront permis à Emori de devenir la seconde de Raven. Quant à Echo, elle a gagné énormément en humanité et… a gagné l’amour, dans les bras de Bellamy.

Ce groupe est à mon sens le plus passionnant à vivre, avec cette famille recomposée. En face, nous aurons droit à une toute autre ambiance pour les 1300 survivants du Bunker, menées par Octavia, devenue la Reine Rouge. Pas mal de flash-backs viendront nous éclairer afin de comprendre pourquoi le personnage d’Octavia est devenu aussi vide et cruel, pourquoi Abby a sombré dans la drogue et plus encore.

A cela, ajoutez un quatrième groupe tout droit venu de l’Espace et vous pouvez vous assurer que des erreurs du passé seront à nouveau commises. Cette saison aura pour but de nous amener jusqu’au final qui permettra de clore cette première partie, ce premier livre, avant un tout nouveau départ dans une direction des plus audacieuses.

The 100 reste à mon sens, en 2018, la série qui m’a une fois encore le plus passionné.

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